"Le travail paie", une phrase que peut sans conteste s’approprier Arthur Serrieres, l’actuel champion du monde X-Terra et de triathlon cross. Le triathlète de 28 domine la discipline sur la scène internationale et, même si incontestablement il dispose d’importantes capacités physiques pour le triple effort, les heures passées dans les bassins, sur son vélo ou dans ses runnings y sont
pour beaucoup dans l’obtention de ce sacre. 35 et 40 heures d’entraînement l’hiver pour des
distances hebdomadaire cumulées que de nombreux triathlètes longue distance n’atteignent pas : 25 à 30 kilomètres de natation, 110 à 120 en courant, 400 à 500 sur le vélo...
Au départ adepte de Vtt, Arthur s’est piqué au jeu du triathlon off-road en s’essayant un jour sur
une course à l’âge de 16 ans. “J’ai vu que je n’étais pas mauvais alors j’ai décidé de m’y mettre
sérieusement” nous lâche-il.
Cette saison 2023 il la courra sur un Factor Lando, alors nous lui avons demandé de nous parler
plus spécifiquement de sa discipline d’origine et de sa spécificité dans sur une course telle que le
cross triathlon. “L’effort est assez différent que ce ce que l’on rencontre aujourd’hui VTT où les
efforts sont très irréguliers et très violents et qui requièrent de plus en plus des qualités techniques
très exigeantes. dans le cas du triple effort on est plus proches de ce qu’était le cross country il y a une dizaine d’années : des boucles plus longues, au seuil, beaucoup moins toniques mais à
maintenir des allures en étant un peu plus économe pour aller au bout des trois efforts. Depuis
peu, en vue de rendre ce sport plus médiatique, les courses intègrent un format short track où pour
le coup l’effort est beaucoup plus court et soutenu mais l’esprit du XTerra reste celui d’une course
longue”.
Sur le circuit, les courses ont chacune leur spécificités, c’est toujours différent, jamais monotone et
“c’est ce qui fait le charme de la discipline” nous confie Arthur. Lui jette davantage son dévolu sur
les courses les plus dures, celles où le volume d’entraînement qui s’impose paie forcément et plus
les parcours VTT sont technique et plus il les aime. Car c’est une spécificité que doivent conserver
les courses de cross triathlon nous dit-il, de façon à ce que des triathlètes venus de la route ne
puissent pas facilement s’imposer sur des parcours qui ne présenteraient pas de difficultés
techniques.
Le Factor Lando s’annonce être la machine idéale pour poursuivre la quête des podiums sur cette nouvelles saison. « Factor est une marque réputée sur la route, certainement parmi les 5 meilleures marques au monde. Même si la marque est une nouvelle venue dans l’univers du tout-terrain, on peut penser que rien n’a été laissé au hasard. j’ai le vélo depuis seulement quelques semaines et à ce que j’en vois, ce vélo est une véritable machine de guerre vraiment très agréable à rouler. J’ai l’habitude de rouler avec des pneus assez gros, en l’état le vélo est doté d’une fourche en 120mm de débattement, aujourd’hui on peut vraiment bénéficier de vélos qui jouent sur le double tableau du confort et de la légèreté et le Lando fait pleinement partie de ces vélos ». 70% de l’entraînement que consacre Arthur au vélo, il le fait sur la route et c’est également sur un Factor Ostro qu’il avaleles kilomètres.
Arthur nous te souhaitons une année prolifique sur les plus hautes marches des podiums